Après la dense faune tropicale australienne ( kangourous, koalas, ornithorynque etc ), nous en avons découvert un nouvelle. Cette fois ci, c’est dans des conditions plus fraîches que nous avons cherchés des yeux ces animaux néo-zélandais. La nouvelle Zélande est une terre située dans l’océan Pacifique, néanmoins, depuis le sud de son territoire, il n’y a aucune île entre elle et l’Antartique. C’est ce qui explique la fraîcheur de son territoire ( même en été ) et la possibilité de

skier en hiver. Voila nos trouvailles :

– Premier animal : des otaries. Ces animaux dormeurs ou joueurs selon les humeurs ont rythmé nos balades… « Là, en bas, il y en a un groupe ! « .  » Et là maman, ce rocher qui bouge s’en est un non ! »  » Oh un bébé qui joue avec les vagues. » Vue de haut, ces animaux ressemblent à des rochers quand on ne les a pas remarqués, mais avec de l’attention, ça ressemble plus à des saucisses aux pelages marrons. Ces boudins noirs ne sont pas très gâtés physiquement : une queue avec au bout de nageoires qui ressemblent à des gants de vaisselle noirs ; un corps un peu boudiné; deux nageoires avant de part et d’autre; une face aux longues moustaches et qui ne ressemble à rien d’autre. De plus, l’expression « ça sent le phoque » n’es pas employée pour rien. Puis, vocalement non plus (voir vidéo). Par contre, lorsqu’ils plongent dans l’eau, leur pelage de différents marrons se transforme en un poil soyant noir qui brille. Et leur agilité est impressionnante. L’eau ne parait pas être un frein pour elle, au contraire elle vont à une vitesse incroyable, ondulant leur corps tel des sirènes de mer.

– Deuxième animal : des manchots. Ces animaux non plus ne sont pas gâtés. On leur a mis deux pattes  » en canard  » et deux nageoires qu’ils ne peuvent remuer que pour s’équilibrer. Et oui, ils ne volent pas d’où leur nom « manchot ». Mais leur démarche est très rigolote a observer et encore plus à imiter. Ce déplacement consiste à balancer votre corps de chaque côté à chacun de vos pas. A la rencontre d’un obstacle, sautez à pied join sur celui ci en remuant vos bras pour ne pas tomber. Attention à être toujours droit, soit de ne pas vous pliez lorsque vous sautez. C’est la clef de la démarche. 😉 … Bref. Pour repérer ses animaux très craintifs, nous avons du bien nous concentrer car voir ces animaux pour la première fois est très excitant. L’observation débute par un moment d’attente à scruter les vagues. Lorsque que l’on voit un oiseau qui ressemble à un canard avancer prudemment vers la plage, c’est qu’il peut s’agir d’un. Si c’est le cas, il faut redoubler d’attention car il va arriver sur la terre ferme. Jonglant entre le surf et la course, le manchot fait son arrivée.

Mon moment préféré est celui où nous en avons vu deux, sur une colline près de la plage. L’un criait sur l’autre en le suivant, et l’autre faisait comme ci de rien était. Nous en avons conclus (puisque un muait) que c’était un ado qui hurlait sur sa mère (voir vidéo). J’ai espéré que la mère soit sourde car le cri du gamin était vraiment agaçant.

– Autres animaux : nous avons pu voir des vaches, des moutons, des chevaux, des cochons … Bref, les animaux qu’on connaît mais la bas, il y en a 3x plus! Alors, nous aimions voir les différences de laine entre les moutons d’un champs à l’autre. Tantôt noire, tantôt marron, tantôt blanche…Parfois plus voluminante que lui, d’autre casiment inexistante puis d’autre, marquée d’une croix colorée…Oups 😉

Les vaches aussi étaient variées. Mes préférées ce sont celles de couleur caramel et les bigouts.

Un jour nous en avons même vu un troupeau (de veau) qui traversaient d’un champs à un autre, suivis de leur maîtres en 4×4, d’un chien Berger puis d’autre voiture comme nous. Formidable !